Pour essai ...
Pour les désordres nés de l’enfermement des sujets, les choses continueraient ainsi, cahin-caha malgré bévues ou excès. Il suffirait, comme à l’accoutumé, de monter au bon peuple, les horreurs du grand mal, la détresse d’autres pays et l’héroïsme de nos carabins, afin que tous filent droit et qu’échappant à la fièvre, ils en supportent les désagréments. Une fois la diabolique épidémie passée, ces petites anicroches relatées par d’incontrôlées gazettes seraient vite oubliées.
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